Une fois n’est pas coutume, mon deuxième roman vient de paraître aux Éditions de l’Archipel !
Après le superbe accueil réservé par les lecteurs à mon premier livre Le Cas Victor Sommer, me voilà à creuser les failles de cette sombre famille où les non-dits sont légion.
Les Pyromanes, c’est d’abord l’histoire de Thérèse, jeune femme sulfureuse qui, du fond de sa campagne normande, attise ragots et passions. Thérèse n’est mariée que depuis un an, mais déjà, elle trompe son époux à tour de bras. Les amants défilent chez elle par dizaines, et c’est tout ce qu’elle peut espérer de mieux. Thérèse existe à travers ces conquêtes qui donnent du sens à sa vie. Hors de question de se contenter d’un seul homme ! La femme la plus courtisée de Normandie revendique sa liberté et son indépendance. Son but ? Mener son petit monde à la baguette.
Cette jouissance sera pourtant de courte durée. En cette journée maudite de 1952, Thérèse apprend qu’elle est enceinte. Pour ne rien arranger, elle accouche d’une fille – soit une future rivale. Il va alors sans dire que la petite Françoise est détestée dès la naissance et grandit dans la misère que lui inflige son odieuse maman.
Et puis, un jour, Françoise devient adolescente. Une belle adolescente. Si belle… qu’elle fait de l’ombre à sa mère ! L’une des deux est de trop. Un combat débute, qui risque de faire des étincelles !
Ainsi le roman se fonde-t-il sur une rivalité mère-fille poussée à son paroxysme. Pour autant, n’allez pas croire que les 464 pages des Pyromanes tourneront uniquement autour de cela ! Vous risquez d’avoir plus d’une surprise. Ça va flamber !
Les Pyromanes : c’est le récit d’un ravage. Et c’est ravageur ! J’ai adoré.
Ces quelques mots ci-dessus sont d’Amélie Nothomb en personne, qui a pu lire le roman avant sa sortie. Une marraine de choix pour un ouvrage flamboyant qui vous consumera jusqu’à l’os.
Tenterez-vous l’aventure, au risque de vous brûler les doigts ?
Les Pyromanes (de Vincent Delareux) est disponible dans toutes les bonnes libraires à dater du 24 août 2023, et sur internet.
Sans contrefaçon, je suis un garçon ! 